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        Les hommes utilisent depuis des millénaires la sculpture pour rendre l’art en trois dimensions. Une des premières sculptures retrouvées en trois dimensions est la « Venus de Lespugue » mais  ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que la recherche des trois dimensions se concentre sur les animations, la cinématographie et l’imagerie pour objectif de rendre des images 2D en 3D.

 

La vision de la trois dimension est rendue possible grâce à la profondeur, elle-même définie par la stéréoscopie. La stéréoscopie est l'ensemble des techniques mises en œuvre pour reproduire une perception du relief à partir de deux images planes. Le principe repose sur le fait que nos deux yeux capturent des images légèrement décalées que le cerveau rassemble pour créer du relief.

En outre, l’imagerie au XXIe siècle a beaucoup évolué depuis l’apparition des premières images en 3D au XIXe siècle, notamment dans la cinématographie. Les lunettes 3D ont joué un rôle primordial dans la vision de vidéos 3D, particulièrement  dans la technique d’anaglyphes, définie en 1853 par le scientifique Rollman. Une autre technique développée dans les années 1930 par le scientifique Edwin Herbert Land est toujours utilisée dans les cinémas actuellement.

 

Nous allons donc voir comment la perception du 3D a évolué au cours des siècles?

 

Dans un premier temps nous allons analyser et observer la toute première forme de lunettes 3D, l’anaglyphe, qui repose sur la synthèse soustractive. Puis dans un second temps nous etudierons la plus répandue forme de lunettes 3D, la polarisation qui utilise les différents types d’ondes. Et finalement, nous allons voir d’une nouvelle technique: l’autostéréoscopie qui consiste en la vision du 3D sans l’aide de lunettes.

 

 

©  Copyright Adrien Renaud-Charriere, Pierre Bonnin, Lucian Robu. Proudly created with Wix.com
 

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